1 – Quel accroissement de population en 2030 êtes-vous prêts à accepter ?

Nous sommes en 2020, nous parlons donc d’un accroissement de population pour les dix prochaines années.
Le centre ville s’est déjà considérablement densifié, et le territoire communal de Bures comporte très peu de foncier disponible, contrairement à Gif, Orsay et Palaiseau qui ont vu leur population bondir ces dernières années du fait de l’urbanisation de leurs plateaux, pris dans l’OIN du plateau de Saclay.
Notre programme ne comporte pas de projet d’urbanisation massive de Bures, Nous prévoyons de faciliter l’habitat participatif sous forme de petites opérations de logement collectif… mais ce type de projets, visant plutôt à limiter l’empreinte du bâti, n’occasionnera pas une augmentation massive de la population.
Néanmoins, au delà de notre périmètre communal, juste aux portes de Bures, la démographie explose. Ce développement massif de population a une incidence directe sur Bures (saturation des routes, des infrastructures, des transports en commun, des réseaux de collecte des eaux usées et des eaux de pluie…). Nous devrons donc tenir compte de ce contexte pour penser l’aménagement de notre ville.

2 – Etes-vous favorable à la conservation du patrimoine bâti (rue Charles de Gaulle, Bd Georges Seneuze etc…) et des espaces verts (Guyonnerie et les nombreux terrains encore épargnés) ?

Le patrimoine constitué par les villas du XIXeme siècle et leur grand jardin le long du boulevard Georges Seneuze est remarquable. Il est le témoin d’une époque de développement bourgeois de l’Ouest parisien, et en particulier de Bures. Ces belles demeures sont régulièrement menacées (pas seulement à Bures) par des projets immobiliers qui ne tiennent aucun compte de l’existant, et se matérialisent par une architecture qui, sous couvert de lignes « contemporaines » génèrent en fait un paysage urbain particulièrement pauvre. Par ailleurs, d’un point de vue environnemental, l’approche qui consiste à démolir et reconstruire ne nous semble pas pertinente ; à court terme, cela peut paraitre économiquement pertinent, mais en réalité, le coût environnemental et culturel n’est pas pris en compte (perte de patrimoine architectural, création de déchets).

Pour préserver cette identité architecturale, nous pouvons agir sur le PLU pour limiter les opportunités foncières et définir des critères architecturaux fidèles à l’esprit de ces demeures.

Concernant les espaces naturels, les espaces boisés ou les jardins encore préservés au sein de Bures (coteaux de la Guyonnerie, parcelle maraichère à l’arrière du marché, château de la vierge…). Nous avons identifié ces terrains comme les « pépites » de Bures. Nous sommes opposés aux projets tels que celui proposé par Kaufman and Broad sur les terrains de la Guyonnerie tant ils constituent une atteinte aux biens communs que sont le paysage, les terres arables, et les milieux humides. La modification du PLU peut s’avérer efficace pour enrayer ce type de projet, mais il nous semble important, parallèlement à ce travail, de veiller à ne pas léser trop fortement les propriétaires de ces parcelles si elles venaient à devenir non constructibles. D’une manière générale, devant le désastre que représente l’urbanisation du plateau de Saclay, nous sommes très réservés quant à une densification plus importante des constructions sur le territoire de notre commune. Nous veillerons à préserver ces « pépites » de l’urbanisation intempestive, et nous attacherons à les inscrire dans une réflexion qui dépasse le cadre de notre commune (trames vertes, bleues, noires et brunes ainsi que relocalisation alimentaire).

3 – Etes-vous favorable à prendre en compte nos propositions pour la zone d’étude du centre ville ?

Nous ne les avons pas étudiées en détail pour le moment, mais la démarche de notre collectif étant fondée sur la démocratie ouverte et participative, il est évident que vos propositions sont les bienvenues pour la zone d’étude du centre-ville ; Ce qui motive notre projet communal, c’est de travailler de manière inclusive.

4 – Etes-vous favorable à contrôler la qualité de l’isolation des bâtiments en construction sur la commune ?

Cette question concerne principalement la bâtiments en construction.

Nous commencerons donc par mettre en conformité le PLU et ses différentes composantes avec le Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) ce qui permettra, entre autres :

  • de renforcer les exigences en matière de performance énergétique et thermique des bâtiments neufs
  • d’imposer l’utilisation de matériaux de qualité et de faible empreinte environnementale(renouvelables, recyclables, biosourcés)
  • de favoriser l’utilisation d’énergie renouvelable (chauffe-eau solaire thermique, géothermie…
  • de favoriser les approches bioclimatiquesPar ailleurs, nous souhaitons aussi agir sur le bâti ancien public et privé.

En ce sens, nous avons développé notre volet transition écologique autour de plusieurs axes de travail parmi lesquels la réduction de l’empreinte carbone de notre commune. Cet axe de réflexion existe depuis le début de nos réflexions, il est fondamental. Notre approche consiste à partir d’un diagnostic (bilan carbone) sur l’ensemble des bâtiments communaux et de déterminer, sur la base de ce constat, les actions les plus efficaces à mener pour baisser l’empreinte carbone des bâtiments. L’isolation des constructions est un levier prépondérant dans cette démarche. Concernant les propriétés privées, sur la base du volontariat, nous inciterons les Buressois à entreprendre exactement la même démarche en proposant de leur apporter un soutien logistique et technique.

5 – Etes-vous favorable à renforcer les moyens des services de l’urbanisme ?

Avez-vous des éléments factuels montrant que le service de l’urbanisme est sous-dimensionné ? Cela génère immédiatement la question de l’arbitrage en matière de ressources ou celle du budget RH/
En tout état de cause, il nous semble évident que le service de l’urbanisme est extrêmement sollicité pour assurer l’émergence de projets de qualité sur la commune. Les dossiers de permis de construire et les déclarations préalables de travaux doivent être étudiées très précisément afin de pouvoir garantir un haut niveau d’exigence architecturale et paysagère. Ceci est d’autant plus vrai si Bures rejoint le PNR de la Haute Vallée de Chevreuse. Par ailleurs, il est primordial de se déplacer sur site pour vérifier la conformité des travaux. Toutes ces mesures demandent des moyens humains correctement dimensionnés au service de l’urbanisme.Par ailleurs, nous envisageons de nous appuyer sur les compétences des services de la commune pour mener les actions de diagnostic dont nous aurons besoin plutôt que de confier ce travail à des cabinets privés. Nous considérons que ces compétences internes sont précieuses et permettent d’aboutir à des projets réellement sur mesure.

6 – Etes-vous favorable au transfert de votre compétence PLU au niveau intercommunal ?

L’urbanisation intensive et traumatique du plateau de Saclay, imposée sur nos territoires ne nous met pas en confiance pour transférer cette compétence au niveau intercommunal, bien que théoriquement, cela aurait pu avoir du sens pour penser un développement cohérent à l’échelle du territoire…

7 – Etes-vous prêts à améliorer l’offre de stationnement à Bures (zone bleue, dépose minute, gratuité temporaire, parkings à vélo…)

Les parkings souterrains réalisés près des gares et gérés en DSP ne nous semblent pas être la solution la meilleure ; d’ailleurs, ils sont sous-exploités malgré les frais importants engagés pour leur construction. Par ailleurs, le fait de rendre payant ces stationnements a eu des effets induits sur les résidences aux alentours, qui ont vu leurs espaces de stationnement détournés au profit des utilisateurs du RER. Notre programme met l’accent sur le partage de l’espace public entre tous les modes de circulations (piétons, vélos, poussettes, Personnes à Mobilité Réduite, transports en commun, voitures).

Nous souhaitons, d’une part améliorer la sécurité et le confort des modes des déplacements actifs (alternatifs à la voiture) à l’intérieur de Bures-sur-Yvette, et d’autre part développer l’offre de transports en commun permettant de relier Bures-sur-Yvette aux zones de commerce et d’activité proches, afin d’enclencher un cycle vertueux permettant de limiter la part des déplacements automobiles à l’intérieur de notre ville pour le bien-être de l’ensemble de la population. Les parkings sont l’un des éléments clés pour favoriser une évolution bénéfique de la circulation dans la ville. Nous travaillerons en concertation avec les habitant.e.s pour évaluer et optimiser l’offre de parkings avec pour objectif d’apaiser la circulation à Bures.

Nous souhaitons aussi réserver une part plus importante au végétal dans la ville pour lutter contre les excès climatiques,. Aussi le partage de l’espace de la rue répondra à tous ces critères, et pas seulement à l’augmentation de l’offre en stationnement.

8 – Etes-vous favorable à des liaisons vallée-plateaux de Saclay-Ulis par téléphérique

Ce projet s’inscrit à priori en cohérence avec notre volonté de développer les transports en commun sur notre commue. C’est un projet d’ampleur intercommunale que nous ne pourrons pas porter directement, mais que nous nous engageons à étudier. La liaison avec le Plateau de Saclay est déjà problématique bien avant la fin des constructions prévues. Il ne sous semble pas normal qu’une ville comme les Ulis, aussi densément peuplée, ne soit pas reliée plus efficacement au RER B. Le réseau de bus actuel est insuffisant pour assurer les liaisons entre villes de la vallée et les différents plateaux, amenant à Bures à une forte circulation de transit. La municipalité actuelle a fait des choix discutables qui pénalisent les utilisateurs (déplacement d’arrêts de bus, changement de parcours ligne 4) ; Par ailleurs, elle n’a pas réussi à obtenir l’insertion de Bures dans les schémas de développement des bus de la CPS. Nous voulons obtenir un plan de transports en communs cohérents où Bures est présent et le téléphérique pourrait être un moyen de rejoindre les plateaux. Le téléphérique permettrait de faciliter les déplacements des personnes qui vivent aux Ulis et travaillent à Paris, et permettrait aussi d’éviter d’avoir à prendre sa voiture pour rejoindre la gare du RER. Le tracé du téléphérique sera à étudier de très près afin qu’il n’occasionne pas la destruction de parcelles forestières. Il n’est d’ailleurs pas certain qu’il ait lieu sur notre territoire communal.

9 – Prendrez-vous des mesures concrètes pour le développement des liaisons douces dans la vallée et vers les plateaux (pistes cyclables et piétons)

La marche à pied et le vélo sont les modes de déplacement les plus adaptés au niveau communal. Le développement des voies douces fait partie de nos projets phares. Nous avons à Bures un collectif cycliste extrêmement dynamique. Ce collectif a vocation à travailler avec la mairie pour faire de Bures une ville amicale pour les vélos.Nous voulons travailler non seulement avec les vélos mais aussi avec les piétons pour rendre notre ville amicale pour tous. Un groupe de travail « mobilité » s’est consacré depuis l’émergence de notre collectif à la recherche se solution sur cette thématique. Nouas avons organisé une ballade ouverte à tous les Buressois dans le cadre de la campagne pour faire partager notre constat de l’insuffisance des aménagements, et notre envie de transformer la ville dans le sens des mobilités douces et d’une coexistence pacifique des différents modes de déplacement. Nous comptons en particulier travailler pour organiser l’accès à l’école avec les parents les enfants et les personnels des écoles pour revoir et sécuriser les accès aux infrastructure scolaires. Nous sommes résolument décidés à agir concrètement pour redistribuer les cartes des mobilités à Bures, et entre les communes voisines.

Nous profitons de cet item pour réaffirmer notre opposition absolue à la création de nouvelles infrastructures routières sur la commune. En effet, nous sommes convaincus que « plus il y aura de routes, plus il y aura de voitures ! ». Le projet de voie Nord-Sud doit être totalement abandonné.

10 – Vous engagez-vous à entreprendre des actions contre les inondations dues à l’Yvette, au Vaularon et aux eaux souterraines ?
Nous mesurons tout à fait la spécificité de Bures vis à vis de sa situation hydrologique. Le raisonnement sur cette thématique doit être mené à l’échelle du bassin versant. Très préoccupés par le risque d’inondations qui risque de s’intensifier (plus fort et plus souvent), nous voulons agir de plusieurs manières :

  • En désimperméablisant les sols de la ville à l’occasion de tout projet de réfection de voirie sur la base d’une cartographie préalable de l’état de porosité des sols
  • En revoyant l’obligation décrite au PLU de créer des stationnements lors de la construction de logements, ce qui occasionne encore l’artificialisation de surfaces de sol*
  • En oeuvrant auprès des autorités compétentes : CPS, Siahvy, Agence de l’Eau pour accélérer les travaux d’aménagement du Baratage et des bassins des Grands Prés et de la Frileuse.
  • En oeuvrant au sein de la CPS pour que l’imperméabilisation des sols du plateau de Saclay n’entraine pas de ruissellement supplémentaire sur Bures
  • En proposant régulièrement aux Buressois de s’informer sur ce risque par des conférences (interventions de scientifiques, et de militants associatifs comme VYF)

*Cette révision de PLU sera étudiée finement afin de trouver le plus juste équilibre entre préservation des sols vivants et réduction de l’encombrement de l’espace public par les voitures individuelles.

11 – Vous engagez-vous à poursuivre la modernisation des réseaux de collecte ?

Bien évidemment nous nous engageons à tout faire, tant auprès de la CPS que du Siahvy ,pour la modernisation de nos réseaux de collecte. En particulier concernant le collecteur intercommunal du Vaularon en ce moment à l’étude, dont l’insuffisance notoire provoque des inondations d’eaux usées sur tout le quartier du Vaularon dès le moindre orage.

12 – Vous engagez-vous à prendre en compte la charte de bonne gestion jointe ?

13 – Qu’envisagez-vous pour l’environnement ?

Nous considérons que l’échelon de la commune est assez pertinent pour agir sur l’aménagement du territoire, étant donné que l’urbanisme est une compétence communale :

  • Les travaux qui sont réalisés sur l’espace public ou sur les bâtiments communaux ont une incidence directe (amélioration ou dégradation) sur l’environnement suivant les choix qui sont faits.
  • Le PLU est un outil puissant pour induire des aménagements vertueux sur les espaces privés

Nous prévoyons en effet de mener des actions concrètes d’aménagement au cours de notre mandat. Nos choix prioritaires seront déterminés par des diagnostics de terrain spécifiquement menés pour Bures, de manière fine, et suivant une approche opérationnelle. Ces diagnostics se déclinent autour de quatre axes :

  • Bilan carbone des bâtiments public et sur la base du volontariat, des constructions privées 
  • Inventaire de la biodiversité (milieux et espèces)
  • Cartographie de l’état de perméabilité des sols urbains
  • Le parcours réel des déchets

Une analyse rapide de la situation existante permet déjà, en attendant les résultats mesurés des diagnostics, de dégager quelques intentions fortes que nous entendons concrétiser :

  • désimperméabiliser les sols urbains
  • bâtir pour le vivant
  • – investir dans l’isolation des équipements publics

Désimperméabiliser les sols urbains
En ville, et notamment à Bures, c’est un enjeu fort ; La ville s’est considérablement artificialisée : les sols urbains sont imperméabilisé (bétons, enrobés, jardins sur dalle), et les bâtiments neufs sont conçus pour repousser le vivant.
Nous voulons regagner de la perméabilité au niveau des sols urbains. Pour cela, chaque mètre carré compte ! Nous commencerons, avec l’aide du service technique de la commune, par cartographier finement les sols de la ville avec un indice traduisant leur état de perméabilité.
Sur la base de ce constat, nous désimperméabiliserons toutes les surfaces qui peuvent l’être à l’occasion de travaux de réfection de voirie; les voiries neuves ne seront pas démolie, cela n’aurait pas de sens en terme d’écologie (bilan carbone, déchets).
Par ailleurs, le réflexe hygiéniste qui consiste à remplir chaque redans avec de l’enrobé pour limiter l’entretien sera inversé, pour limiter au contraire, au strict minimum (dans le respect des normes PMR et des usages de circulations douces) les emprises imperméabilisées. Suivant les types de circulations, plusieurs matériaux pourront se substituer à l’enrobé : les pavés à joints vifs, le stabilisé, et pourquoi pas les bétons drainants.
Bien entendu, ce recul des surfaces traitées en enrobé ou en béton s’accompagnera dès que c’est possible de plantations, notamment au niveau des façades sur le principe des « graines de pied de mur ».

Bâtir pour le vivant

Cette expression signifie que nous voulons bannir sur la commune les modes de construction mortifères. Aujourd’hui, dans notre ville, l’urbanisation s’accompagne exclusivement d’une artificialisation : les sols sont imperméabilisés, et les façades sont bardés de matériaux composites dont le cycle de vie est désastreux : lourd bilan carbone à la fabrication, absence de filière simple en fin de vie (non compostables, mal recyclables, peu ré-employables…). Par ailleurs, ces façades sans aspérité qui ne laissent aucune chance au vivant (végétation grimpante, nidification d’oiseaux). L’architecture stérile qui a émergé au coeur de Bures est un exemple édifiant de ce qu’il ne faut pas faire.

Là encore, le PLU doit être amendé pour que sa dimension réglementaire permette d’orienter les projets de construction en faveur du développement de la biodiversité et de la diminution de l’empreinte carbone (bardages en bois naturel, essences locales, profondeur de substrat suffisantes sur les jardins sur dalle et les toitures végétales, labelisation biodivercity…).

Nous souhaitons aussi revoir complètement la place du végétal dans l’espace public. Les fleurissements annuels (coûteux et émetteurs de carbone) seront abandonnés. Un véritable plan pluriannuel de végétalisation sera mis au point pour déployer des plantations pérennes, indigènes et économes (arbres, haies…) pour constituer à terme un véritable patrimoine planté plutôt que le décor de fleurs en bac jetables.

Bien entendu, étant donné que cette action doit être menée au long cours, ce plan de végétalisation s’articulera avec un plan-guide de gestion des espaces plantés qui orientera l’action des jardiniers pour que saison après saison, le patrimoine planté prenne corps. Lorsqu’il sera mature, ce patrimoine planté sera un atout pour lutter contre les excès climatiques, accueillir et régénérer la biodiversité dans la ville, et ré-enchanter le paysage de Bures aujourd’hui bien stérile…

De manière plus ponctuelle, nous avons quelques idées à la fois poétiques et écologiques, et par exemple, la création d’une salle de verdure devant la médiathèque pour lire en plein air aux beaux jours ; Ce jardin de lecture, situé au calme de l’îlot mairie, pourrait être accompagné d’un rideau de lianes volubiles caduques devant la grande verrière pour limiter la surchauffe estivale tout en conservant la lumière en hiver…

Investir dans l’isolation des équipements publics
Ce volet de notre projet pour la ville de Bures s’articule d’avantage avec l’enjeu de la réduction de l’empreinte carbone. De la même manière que pour les autres projets, nos actions seront guidées par un diagnostic de départ (bilan carbone) qui nous permettra de mener les actions les plus efficientes.
Là encore, avant même de détenir les résultats exhaustifs du diagnostic, il apparait que plusieurs bâtiments communaux demandent une requalification thermique de fond :

  • La mairie (notamment l’extension en béton à l’arrière)
  • La Maison de l’Environnement et de la Transition